Joaquín Caparrós, l'éternel dans le coeur du Sevilla FC
- Rabal
- 23 juin
- 2 min de lecture
Joaquín Caparrós, l’homme d’un seul club : le Sevilla FC
Il y a des rêves d’enfant qui ne s’effacent jamais. Pour Joaquín Caparrós, ce rêve était de diriger le Sevilla FC, le club de son cœur et il l’a réalisé à quatre reprises, toujours prêt à répondre présent dans les moments clés.
Depuis sa première arrivée en 2000, où il a fait remonter le club en Liga en une saison, jusqu’à son dernier retour après le départ de García Pimienta, Caparrós a toujours mis passion et fidélité au service du blason Sevillista.
Dans une lettre émouvante, il a récemment fait ses adieux au banc, mais pas au club :
« Qui aurait pu dire à ce petit garçon sevillista, dont le plus grand rêve était de fouler la pelouse du Ramón Sánchez‑Pizjuán, que des années plus tard, il réaliserait ce rêve… et à tant de reprises ? »
Cette phrase montre que, même en tant qu’entraîneur, il n’a jamais cessé d’être un fan comme les autres.
« Je quitte le banc, mais pas le sentiment. Je serai toujours là pour ce que le Sevilla FC aura besoin. Je serai toujours redevable envers ce blason. »
En reconnaissance de son parcours unique, le club l’a nommé Président d’Honneur, un titre inédit et symbolique pour un homme qui incarne l’âme du Sevilla FC.
Joaquín Caparrós, éternel dans le cœur des Biris
Le groupe Biris Norte a adressé un message fort à Joaquín Caparrós, récemment nommé Président d’Honneur du Sevilla FC. Figure emblématique du club avec quatre passages comme entraîneur, Caparrós incarne les valeurs de passion, loyauté et engagement qui résonnent profondément à Nervión.
Considéré comme “un Biri de plus”, il reste une icône vivante pour les supporters, qui saluent son lien unique avec la tribune du Gol Norte. Son surnom de “Batman” et l’amour que lui vouent les fans montrent que son héritage dépasse largement le rectangle vert.
« Félicitations, Joaquín. Merci pour ton dévouement, ta loyauté et pour avoir défendu ce blason comme peu l’ont fait. Au Gol Norte, tu auras toujours ta place. Ici, on n’oublie pas les nôtres. »
Biris Norte
