Le Ramón Sánchez-Pizjuán fête son 50E anniversaire avec une exposition spéciale
- Rabal
- 22 oct.
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Ce mardi, le Sevilla FC a célébré une date symbolique de son histoire en inaugurant une exposition temporaire dédiée au 50e anniversaire de la fin des travaux du stade Ramón Sánchez-Pizjuán. L’événement, organisé dans l’antichambre de la tribune d’honneur du stade, marque le coup d’envoi du programme culturel du Département d’Histoire pour la saison 2025/26.
Un hommage au temple du football sévillan
La cérémonie a été présidée par Joaquín Caparrós, président d’honneur du club, qui n’a pas caché son émotion en évoquant l’importance du Sánchez-Pizjuán dans la mémoire collective du football espagnol et européen. Véritable témoin de décennies de gloire, le stade reste l’un des symboles les plus puissants de l’identité sévilliste.
Une saison riche en commémorations
Au cours de la présentation, Javier Terenti, membre du Département d’Histoire, a détaillé les projets prévus pour cette nouvelle saison. Parmi eux, plusieurs expositions rendront hommage à des moments marquants :
le centenaire de la Coupe d’Andalousie 1925/26,
le centenaire du décès de Spencer, figure pionnière du club,
les 80 ans du titre de champion d’Espagne,
et les 20 ans de la première Coupe de l’UEFA remportée par le Sevilla FC.
Un programme qui confirme la volonté du club de préserver et valoriser son patrimoine historique, en rendant hommage à ceux qui ont contribué à forger sa légende.
Des présences symboliques et chargées d’histoire
L’événement a également réuni des représentants de la Fondation José Manuel Lara, rappelant le lien étroit entre le célèbre éditeur – fondateur du groupe Planeta – et le Sevilla FC, dont il était un fervent sympathisant. Dans les années 1970, José Manuel Lara avait joué un rôle clé en finançant une partie de la construction du stade, un geste décisif pour son achèvement.
Enfin, des membres de la famille de l’architecte José Galnares Sagastizábal, responsable de la dernière phase des travaux, étaient également présents, soulignant ainsi la dimension humaine et patrimoniale de cette commémoration.
