Matías Almeyda analyse le Sevilla FC avant d’affronter Alavés : le onze, respect du rival et l'autocritique
- Rabal

- 19 sept.
- 2 min de lecture
Le Sevilla FC se déplace ce week-end à Mendizorroza pour y affronter le Deportivo Alavés lors de la cinquième journée de LaLiga. Avant le voyage à Vitoria, Matías Almeyda a livré ses impressions en conférence de presse, abordant la gestion de son effectif, l’analyse de l’adversaire et les défis de ce début de saison.
Un groupe impliqué et en bonne condition
L’entraîneur argentin a tenu à remercier ses joueurs pour leur attitude durant la semaine soulignant l’importance d’avoir tout son effectif disponible.
« Nous modifions le travail et les minutes, mais il est préférable de décider quand tout le monde est en bonne condition »
Pour autant, l’onze de départ n’est pas encore défini, en raison de l’accumulation des matchs et de la nécessité de rotations dans les semaines à venir.
Respect pour l’adversaire
À propos du match, Almeyda n’a pas hésité à parler de Alavés. Le staff technique a passé la semaine à analyser l’équipe basque afin de trouver le meilleur plan pour ramener des points hors de Nervión.
« Alavés est une équipe difficile, forte à domicile, avec un bon entraîneur et une stratégie. Nous le respectons comme tous les adversaires. »
Confiance dans le projet malgré les difficultés
Face aux éloges récents de certains joueurs, Almeyda est resté fidèle à sa ligne de conduite
« Je vis d’une seule manière. Soit on m’aime, soit on ne m’aime pas. J’essaie de ne pas faire ce que je n’aimais pas quand j’étais joueur. Nous sommes l’équipe qui a le moins investi. Nous ne cherchons pas d’excuses. Nous essayons de travailler en groupe et je crois que nous sommes sur la bonne voie. »
Cohésion et vie de groupe
Cette semaine, l’entraîneur a organisé un déjeuner collectif, symbole d’unité et de convivialité
« Ce qui m’intéresse, c’est qu’ils apprennent à se connaître, qu’ils partagent. Nous vivons dans un monde égocentrique. Moi, je crois au dialogue et à l’attention portée aux autres. »
Construire pas à pas
Concernant l’identité de jeu, Almeyda appelle à la patience
« Il est difficile de changer deux ans en quatre matchs. Il y a des erreurs qui se corrigent petit à petit. Nous devons bien jouer à domicile comme à l’extérieur. Sinon, nous finirons en bas. Mais tant que nous avançons, il y a toujours de l’espoir. »













